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Forum Mettâ Bouddhisme originel
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cgigi2 Invité
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Posté le: Lun 27 Nov, 2006 0:58 Sujet du message: Confiance et Foi dans le Dhamma... |
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J'ai remarquer, au cours de ma vie, que grâce à la Foi et à la Confiance seraine que j'entretenais en cette vie même, malgré les épreuves et les tourments du Khamma négatif que j'ai récolter, je finissais toujour par m'en sortir victorieuse, avec des blessures, mais des blessures qui se sont cicatriser sans laisser de trace,
Il ne faut pas perdre de vue, que si nous nous retrouvons dans des situations ambigues et malheureuses, ça ne peut qu'être due à notre ignorance des lois du fonctionnement de l'esprit, et j'ai remarquer aussi que plus nous cessons de combattrent les choses qui nous accablent plus elles cessent de nous accabler,
C'est en lâchant prise sur nos malheurs, qu'ils finissent par nous dévoiler leurs vrais natures, nous retenons ces malheurs en acceptant pas notre situation présente et ainsi nous leurs donnons le pouvoir sur notre esprit,
Alors considérant que tout est vacuité, les malheurs le sont aussi, et ils n'ont de réalité que celle que nous voulons bien leurs accorder,
En acceptant notre situation présente, en cessant tous combats, notre conscience est enfin en position de recevoir les Grâces et les Merveilles que la Vie nous accorde si généreusement Ici et Maintenant :)
avec metta
gigi
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Wakanda Invité
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Posté le: Lun 27 Nov, 2006 1:07 Sujet du message: |
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Moi je suis alcoolique depuis 14 ans et j'essaye d'arrêter de fumer depuis plusieurs mois.Je suis abstinent a l'alcool depuis neuf mois mais je suis obliger de prendre des anxio, des neuroliptyc et des anti depresseur semble t il que des sequelle psychiatrique perdure dans ma vie.
Mais j'ai la fois et j'ai déjà parcouru un chemin incroyable en un an d'abstinence et je vous remercie a tout de tout les forum bouddhite pour votre aide.
Metta |
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cgigi2 Invité
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Posté le: Lun 27 Nov, 2006 2:32 Sujet du message: |
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Bonjour Wakanda, il n'est pas toujour facile, quand ont parle de drogue comme la cigarette, mais il faut regarder du côté de tous ceux qui réussissent à arrêter cette drogue dabgeureuse, et je connais des gens qui étaient alcoolique et qui ne consomme^pas une goutte depuis 20 ans, tout en étant encore vigilant,
Pour ce qui est des dépression il y a un psy qui a fait une étude poussée sur les oméga 3 et franchement les résultats sembles encourrageants, les omégas 3 sont efficacent à plusieurs niveaux pour la santé humaine physique et psycologique je te laisse cette article et te recommande fortement la lecture de ce livre :)
avec metta
gigi
Docteur oméga-3
«Si une médecine marche, qu’importe de savoir pourquoi», dit le psychiatre David Servan-Schreiber, fervent avocat de ces acides gras.
PAR HERVÉ JUSTE
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David Servan-Schreiber a toujours été un bon élève. Pendant 16 ans, il a étudié les neurosciences au Canada et aux Etats-Unis. Scientifique pur et dur, il est même devenu directeur d’un laboratoire de recherche à l’université de Pittsburgh. Il mesure donc parfaitement les immenses possibilités de la médecine moderne, tout en reconnaissant ses limites.
Ce qui le distingue de la majorité de ses confrères, c’est qu’au lieu de s’accommoder de ces carences il a décidé d’explorer les nouvelles voies d’une médecine qu’il qualifie de «complémentaire». Son livre Guérir, paru il y a trois ans, fait le point sur ses recherches dans un domaine où la science pure s’est rarement aventurée. Ses découvertes ont fait grincer bien des spécialistes, et lui-même s’avoue parfois incapable d’expliquer pourquoi ces nouvelles thérapies sont efficaces. «Pourtant, assure-t-il, les études nous montrent que ça marche.» La preuve: les gens guérissent!
Il a bien voulu répondre à nos questions et, en particulier, préciser sa pensée sur ce qui est devenu son cheval de bataille: le rôle clé des oméga-3 sur notre santé.
Sélection: Comment avez-vous découvert «l’autre médecine»?
David Servan-Schreiber: En travaillant avec des réfugiés tibétains, en Inde. J’ai constaté qu’il existait deux sortes de médecine: notre système occidental, et un système tibétain qui soignait par la méditation, l’acupuncture, la nutrition et les plantes. Pour moi, c’était de la poudre de perlimpinpin, du chamanisme, mais j’ai tout de même demandé à ces médecins comment ils décidaient, face à la maladie, quel système était le plus utile.
C’est très simple, m’ont-ils dit: «Si vous avez une pneumonie, une fracture, un infarctus, la médecine occidentale est remarquablement efficace. Mais, si vous souffrez d’une maladie chronique, la médecine de crise ne sert pas à grand-chose. Là, il faut stimuler les capacités naturelles de votre corps à se soigner, à s’autoguérir. Et, pour ça, la médecine tibétaine est beaucoup mieux adaptée. Il faut parfois attendre un ou deux mois avant d’en voir les effets, mais il n’y a que cette méthode qui marche.»
Sélection: Cette découverte a-t-elle ébranlé vos convictions?
D.S.-S.: Oui, dans la mesure où tous mes patients de Pittsburgh souffraient de maladies chroniques – comme la dépression, l’anxiété ou le stress – et que nous cherchions à les soigner comme on traiterait une pneumonie: à coups de médicaments. Cette stratégie n’avait aucun sens. Si l’on regarde bien, il existe des tas de mécanismes qui nous indiquent que notre corps peut guérir seul. Chaque fois qu’on se coupe, le sang finit par s’arrêter de couler et, au bout de 10 jours, on ne voit même plus la cicatrice. Les études prouvent qu’on obtient d’excellents résultats en rééquilibrant les grandes fonctions physiologiques et émotionnelles. J’ai appliqué certaines de ces méthodes dans ma pratique de psychiatre et j’ai vu qu’elles marchaient plutôt mieux que ce que je faisais jusque-là.
Cela a été un choc pour moi de constater que j’avais consacré 16 ans de ma vie à la psychiatrie et qu’on ne m’avait jamais enseigné ça! J’ai continué à prospecter et, au lieu de m’enfoncer dans des impasses, j’ai découvert les voies royales de la santé.
Sélection: En tant que scientifique, cela ne vous gêne pas de ne pas pouvoir expliquer pourquoi les patients qui empruntent ces «voies royales» guérissent?
D.S.-S.: Dans mon livre, je raconte l’histoire de Philippe Ignace Semmelweiss, un médecin hongrois de la fin du xixe siècle. A une époque où 30 pour 100 des femmes qui accouchaient mouraient de septicémie, il avait découvert que le simple fait d’obliger les accoucheurs à se laver les mains à la chaux réduisait cette mortalité à 5 pour 100. Une sacrée différence, non? Il avait tenté d’imposer cet usage, ce qui lui avait valu d’être… licencié. Pourquoi? Parce que Pasteur et Lister n’étaient pas encore passés par là et qu’on ne comprenait rien aux microbes.
Qu’est-ce qui est plus scientifique? Suivre la démonstration de l’efficacité et l’appliquer dans la manière de soigner les gens? Ou dire «On ne comprend pas, donc ça n’existe pas»? Moi, en tant que scientifique, ça ne me gêne pas de choisir la première option.
Même chose pour l’acupuncture. Des études montrent qu’elle réduit les nausées chez la femme enceinte et chez les patients soumis à une chimiothérapie. Pourquoi? On ne le sait pas!
Qu’est-ce qui est plus scientifique? Faire entrer l’acupuncture à l’hôpital pour soigner les femmes enceintes – sans exposer le fœtus à des médicaments – et les cancéreux? Ou rejeter cette méthode parce qu’on ne comprend pas comment elle marche?
Sélection: On a pourtant tendance à se dire «Si c’était vrai, ça se saurait.»
D.S.-S.: Tout le problème est là. Et ce qui me stupéfait, et me met dans une certaine colère, c’est que, justement, c’est vrai et que ça ne se sait pas.
Sélection: Comment expliquer ce mur de silence?
D.S.-S.: Ce n’est ni de la méchanceté ni de la malfaisance, plutôt un manque d’intérêt financier. Il n’y a pas de brevet sur les méthodes naturelles. Les seuls qui s’y intéressent, ce sont les patients. La deuxième explication, c’est que ces thérapies prennent du temps…
Sélection: Comme les changements de régime alimentaire?
D.S.-S.: Jamais on ne m’avait parlé de nutrition en psychiatrie. L’idée que l’alimentation puisse améliorer l’état psychologique d’un patient n’avait aucun sens pour nous, médecins. Ce qui est extraordinaire, c’est que nous sommes les seuls à ne pas le savoir. Pour les gens de la rue, c’est une évidence absolue.
Sélection: Vous préconisez, en particulier, la consommation d’oméga-3…
D.S.-S.: Pour moi, c’est l’une des grandes révolutions médicales du début du xxie siècle. Les acides gras sont dits essentiels, car l’organisme ne peut pas les fabriquer. On en connaît deux familles: les oméga-3 et les oméga-6. Toutes deux participent à la structure de la membrane cellulaire. Mais, alors que les oméga-6 sont pro-inflammatoires, les oméga-3, eux, sont anti-inflammatoires. Ils donnent à la cellule la capacité de s’adapter à son environnement et de transmettre des messages. L’important, c’est l’équilibre entre ces deux acides gras. Malheureusement, les oméga-3 disparaissent peu à peu de nos assiettes.
Sélection: Pourquoi?
D.S.-S.: Voilà des millions d’années que nos gènes s’adaptent à un environnement nutritionnel très spécifique, celui du chasseur-cueilleur. Dans ce milieu, il y avait très peu d’acides gras saturés et au maximum deux fois plus d’oméga-6 que d’oméga-3. Cet équilibre entre les deux familles d’oméga s’est rompu au siècle dernier, surtout après la Deuxième Guerre mondiale, quand les animaux que nous consommons ont cessé de manger de l’herbe – une très bonne source d’oméga-3 – pour se nourrir de soja et de maïs. A partir de ce moment, nous avons commencé à consommer beaucoup plus d’oméga-6 que d’oméga-3.
Sélection: Comment pouvons-nous rétablir cet équilibre?
D.S.-S.: D’abord par l’alimentation. On ne peut pas demander à tout le monde de prendre des gélules d’oméga-3. L’idéal, c’est le régime méditerranéen, qui permet de réduire considérablement les oméga-6 et d’augmenter les oméga-3. C’est le régime que je recommande le plus, en insistant pour que les principales sources de gras soient l’huile de canola et l’huile d’olive. Il faut systématiquement éviter les autres huiles (maïs, tournesol…), qui sont mauvaises pour la santé dans les quantités consommées habituellement. Même l’huile de soja n’est pas recommandée.
Sélection: Pourtant, les nutritionnistes conseillent de diversifier les huiles.
D.S.-S.: Les nutritionnistes sont capables d’énormités! Il y a 10 ans, la pyramide alimentaire américaine qu’ils recommandaient stipulait qu’il fallait consommer de 6 à 11 portions de produits céréaliers par jour. C’est totalement délirant. Vous savez qui était responsable de la création de cette pyramide alimentaire? Le département de l’Agriculture. Si vous mangiez des pâtes et du pain, cela faisait tourner l’industrie. Ces forces convergentes sont inquiétantes. Walter Willett, nutritionniste à Harvard, a dit un jour que demander au département de l’Agriculture de faire des recommandations sur l’alimentation revenait à donner les clés du poulailler au renard.
Sélection: L’EPA et le DHA sont d’importants acides oméga-3. Quel rôle jouent-ils exactement?
D.S.-S.: L’EPA est un antidépresseur et un anti-inflammatoire. Le DHA est un constituant des membranes des cellules nerveuses, qui favorise la croissance du cerveau chez l’enfant. Il est aussi anti-arythmique, donc excellent pour la santé cardiovasculaire.
Sélection: Pourquoi privilégier les oméga-3 de poisson alors que certains végétaux en contiennent tout autant?
D.S.-S.: Les végétaux produisent des oméga-3 à courte chaîne que notre organisme a beaucoup de mal à transformer en oméga-3 à longue chaîne, qui lui sont indispensables. Les poissons gras opèrent cette conversion beaucoup plus facilement et nous donnent directement accès aux oméga-3 à longue chaîne. Un exemple: la graine de lin et le maquereau contiennent sensiblement la même quantité d’oméga-3, soit 2,5 g pour une portion de 100 g. Mais notre organisme n’absorbe que 10 pour 100 de cet oméga-3 végétal, beaucoup moins que si nous mangeons du maquereau. Quant à la viande, son apport est très modeste: à peu près 100 mg d’oméga-3 pour 100 g de poulet, et 10 mg pour 100 g de bœuf ou de porc – sauf si ces animaux sont nourris à l’herbe ou, mieux encore, avec une alimentation composée à 5 pour 100 de graines de lin extrudées.
Sélection: Que conseillez-vous alors aux végétariens?
D.S.-S.: Il n’y a pas vraiment de solution. Soit ils consomment beaucoup d’oméga-3 d’origine végétale – puisqu’ils sont difficiles à convertir –, soit ils consomment des gélules de DHA extrait d’algues marines, mais celui-ci n’a pas les propriétés bénéfiques de l’EPA pour l’équilibre émotionnel.
Sélection: Vous étonnez beaucoup de monde quand vous dites que les oméga-3 pourraient être aussi efficaces que le Ritalin.
D.S.-S.: Ce n’est pas moi qui le dis, mais une étude de la très sérieuse université d’Oxford. On a donné des oméga-3 à 117 enfants âgés de 6 à 12 ans qui souffraient de problèmes de concentration et de troubles de l’apprentissage. Un groupe témoin recevait des placebos. Au bout de trois mois, les enfants qui prenaient des oméga-3 avaient progressé trois fois plus vite en lecture que ceux de l’autre groupe, et quatre ou cinq fois plus vite en orthographe!
Malheureusement, personne n’en a entendu parler. L’étude a pourtant été publiée dans Pediatrics, la plus importante revue pédiatrique du monde. Cet article aurait dû attirer l’attention des médecins! Quand on sait que, rien qu’au Québec, entre 2 et 5 pour 100 des enfants prennent du Ritalin!
Sélection: Quel est le lien entre une carence en oméga-3 chez la femme enceinte et la dépression post-partum?
D.S.-S.: Les oméga-3 sont essentiels au développement normal du cerveau du fœtus: si la mère n’en prend pas suffisamment, le bébé détournera tout à son profit. Privée de ses oméga-3, la mère risque de faire une dépression post-partum. La consommation de poisson ou la prise de suppléments d’oméga-3 pendant la grossesse peut combler cette carence.
Sélection: Faut-il être dépressif pour tirer parti des oméga-3?
D.S.-S.: Si l’on a un problème de santé, il faut absolument corriger son alimentation. Mais, même si l’on est en bonne santé, il faut savoir que ces oméga-3 qui nous font défaut améliorent notre santé cardiaque, réduisent l’inflammation des articulations, équilibrent notre système immunitaire, font baisser notre tension artérielle et réduisent notre taux de triglycérides.
Si notre alimentation n’est pas équilibrée ou que l’on tombe malade, il peut donc être important de prendre des suppléments, au moins le temps de recharger ses cellules pendant que l’on corrige son alimentation. Le but des suppléments, c’est de ramener les gens à la normale, puis de les maintenir sur leur lancée par l’alimentation uniquement, afin qu’ils n’aient pas à prendre des gélules toute leur vie.
Sélection: Vous présidez le comité scientifique de la société isodisnatura. Ne craignez-vous pas que David Servan-Schreiber, auteur du livre Guérir, soit un peu discrédité par ses activités au sein d’une entreprise qui produit des suppléments d’oméga-3?
D.S.-S.: Je vous remercie de me poser la question. Il est important de clarifier ma position. J’ai compris très vite, devant le succès de mon livre, que j’avais pour devoir de rendre accessibles les oméga-3. Et de m’assurer que le degré de pureté et de concentration de ces acides gras corresponde à celui des oméga-3 qui ont fait l’objet des études citées dans mon livre.
Comme, en plus, ces gélules n’existaient pas en Europe et que beaucoup de gens cherchaient à s’en procurer, j’ai fait en sorte qu’elles soient offertes sur le marché. Si je ne l’avais pas fait, est-ce que la majorité des Québécois et des Français sauraient aujourd’hui ce que sont les oméga-3?
Sélection: Quel conseil donneriez-vous à nos lecteurs dans le choix des compléments alimentaires?
D.S.-S.: Il faut surtout regarder la concentration en oméga-3. Si elle est faible, vous ingurgitez un tas de graisses, donc de calories inutiles. Recherchez une concentration d’au moins 50 pour 100, c’est-à-dire que 1000 mg doivent contenir au moins 500 mg d’oméga-3.
Sélection: Et quel type d’oméga-3 devrions-nous privilégier pour la santé cardiaque?
D.S.-S.: Pour se protéger contre les troubles du rythme cardiaque – qui sont la principale cause de mortalité par infarctus –, il faut accorder la priorité aux oméga-3 très riches en DHA. Le DHA stabilise les membranes du cœur et prévient les arythmies.
Sélection: Et pour les enfants?
D.S.-S.: Il faut privilégier l’EPA, qui semble agir sur la concentration et sur l’équilibre émotionnel, mais veiller aussi à ce qu’ils reçoivent suffisamment de DHA, qui contribue activement au développement de leur cerveau. La plupart des enfants consomment tellement peu de fruits et de légumes riches en vitamines et en antioxydants qu’il faut s’assurer qu’ils reçoivent les vitamines nécessaires pour accompagner les oméga-3.
Sélection: Y a-t-il des contre-indications à consommer des oméga-3?
D.S.-S.: Oui, l’allergie au poisson. Aussi, à cause des effets anticoagulants des oméga-3, nous recommandons aux personnes sous médicaments anticoagulants qui en prennent de se faire suivre par un médecin.
Sélection: Que doit-on manger pour parvenir à un équilibre entre oméga-3 et oméga-6?
D.S.-S.: Les études montrent qu’il y a un réel déséquilibre si vous ne mangez du poisson qu’une fois par semaine. Idéalement, il faudrait consommer des poissons gras cinq fois par semaine. Vous semblez étonné! Auriez-vous la même réaction si je vous suggérais un steak cinq fois par semaine? Alors, où est le problème?
Où trouver des oméga-3?
(Taux pour une portion de 100 g)
Maquereau 2,5 g
Hareng 1,7 g
Thon, anchois entiers 1,5 g
Saumon 1,4 g
Sardines 1,0 g
Poulet 0,1 g
Bœuf, porc 0,01 g
oméga-3: le CHUM innove
Un million de Canadiens, dont 250000 Québécois, souffrent de dépression. Devant la faible efficacité des antidépresseurs et l’intolérance de certains patients à ces médicaments, le Dr François Lespérance, qui dirige le département de psychiatrie du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), a décidé d’étudier les effets des oméga-3 sur la dépression. Cette étude, lancée en janvier dernier, est la plus importante jamais entreprise sur un traitement non traditionnel de la maladie. Elle sera réalisée en collaboration avec plusieurs centres de recherche canadiens et bénéficie de l’appui financier et matériel (fourniture des gélules d’oméga-3 nécessaires à l’expérience) de la société européenne isodisnatura, dont le Dr David Servan-Schreiber préside le comité scientifique. Les chercheurs prévoient recruter 508 patients souffrant de dépression majeure. Tous les jours, pendant huit semaines, chacun recevra soit trois gélules d’oméga-3 hautement concentrées en acide EPA, soit des gélules identiques d’un placebo composé d’huile de tournesol, pauvre en oméga-3.
Les résultats sont attendus dans 18 mois. L’étude permettra de vérifier définitivement l’efficacité des oméga-3, de mettre au point de nouvelles stratégies thérapeutiques et de valider leur intérêt dans le traitement de la dépression. Si son efficacité est démontrée, cette méthode pourrait faciliter la prise en charge des malades et profiter à un plus grand nombre de patients.
Kheira Chakor
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