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Forum Mettâ Bouddhisme originel
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fifi

Inscrit le: 18 Mai 2010 Messages: 173
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Posté le: Mer 06 Avr, 2011 10:32 Sujet du message: Centre Sakyamuni fermé jusqu'en 2012 |
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Le centre de Sakyamuni est fermé jusqu'en 2012 mais savez-vous s'il va rouvrir ? C'était pas trop loin de chez moi... Compliqué de pratiquer le Théravada en France....
http://sakyamuni.vipassana.free.fr/ |
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tirru...

Inscrit le: 02 Aoû 2006 Messages: 424
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fifi

Inscrit le: 18 Mai 2010 Messages: 173
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Posté le: Lun 11 Avr, 2011 8:46 Sujet du message: |
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Tirru,
J'aurais pu envoyer un mail mais le centre étant fermé j'ai supposé que personne ne répondrais. Je suis donc passée en priorité par Metta. Merci pour ta réponse. Tu penses que le centre est voué à rouvrir ou rien est prévu ?
bonne journée  |
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Adrien

Inscrit le: 31 Aoû 2008 Messages: 205 Localisation: Toulouse
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Posté le: Lun 11 Avr, 2011 10:24 Sujet du message: |
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Je ne sais pas si c'est lié, mais j'ai cru comprendre qu'ils avaient des soucis avec la propriétaire des lieux qui demande de plus en plus d'argent. Les retraites devenant donc de plus en plus chères, le nombre de participants a considérablement baissé (moins de 15 pour la retraite de deux semaines de juin 2010).
Peut-être qu'ils n'ont pas réussi à obtenir des accords acceptables pour cette année, ou peut-être aussi qu'il y a des indiponnibilités parmi les moines et nonnes ou trop peu de bénévoles (l'année dernière, ils ont dû faire déplacer des bénévoles de Birmanie et de Thaïlande en dernier recours). Il y a beaucoup de travail, et ce sont les nonnes qui font quasiment tout. Pour juillet/août dernier, elles ont même gardé le centre ouvert alors que le moine n'avait pas pu se présenter (il était malade). Elles ont donc cumulé les conseils aux méditants à toute la logistique du centre...
D'ailleurs, il ne serait pas incensé qu'elles aient décidé de lâcher toute cette pression pour s'occuper de leur propre pratique (retraite intensive ?), ou pour aider ailleurs, dans de meilleures conditions. |
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fifi

Inscrit le: 18 Mai 2010 Messages: 173
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Posté le: Lun 11 Avr, 2011 11:15 Sujet du message: |
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Oui, ce serait logique et c'est à quoi je pensais ( enfin un truc dans le genre).
Je vois bien les difficultés qu'il y a dans le Théravada. Enfin, je préfère ce genre de difficultés à celles du bouddhisme tibétain. Je pense que je vais trouver ma petite solution, tout doucement ça vient. En fait, le plus difficile est d'intégrer sa pratique au quotidien sans que ça bouscule ce qui est déjà en place et je me suis rendue compte que j'étais bien la seule à pouvoir le faire. Je pense que si il y avait eu possibilité, ça m'aurait déchargée d'une partie de mes responsabilités et j'aurais affirmé cette tendance à aller chercher à l'extérieur de moi ce que je peux trouver à l'intérieur de moi. Je vais donc faire avec et on verra par le suite. Le fait de n'avoir pas le choix est plutôt déculpabilisant au final. J'espère qu'un fois avancée sur le chemin, ça finira quand même par se débloquer tout ça  |
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Adrien

Inscrit le: 31 Aoû 2008 Messages: 205 Localisation: Toulouse
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Posté le: Lun 11 Avr, 2011 20:44 Sujet du message: |
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Sinon pour faire des retraites il y a d'autres alternatives : centre Goenka près d'Auxerre, Vimalakirti en Suisse avec Charles Genoud, dhamma group brussel à Bruxelles, le moulin de Chaves (plus autonome, mais avec des conseils pour la méditation tout de même), ainsi que diverses activités proposées par vipassana.fr. Je pense qu'on peut en trouver d'autres en cherchant un peu sur google.
Si tu es anglophone, tu peux encore élargir ton champ d'action (notamment vers les monastères en Angleterre tels qu'Amaravati ainsi que celui de Chithurst). |
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fifi

Inscrit le: 18 Mai 2010 Messages: 173
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Posté le: Lun 11 Avr, 2011 21:59 Sujet du message: |
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C'est juste que mes possibilités sont très limités et en plus de ça j'ai une idée précise de ce que je recherche  |
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Longchen

Inscrit le: 14 Jan 2011 Messages: 92
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Posté le: Mar 12 Avr, 2011 7:20 Sujet du message: |
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fifi a écrit: |
Je vois bien les difficultés qu'il y a dans le Théravada. Enfin, je préfère ce genre de difficultés à celles du bouddhisme tibétain. |
L’importance de l’éthique est un garde fou dans le Theravada. Même si un problème assez sérieux se présente (ce n’est pas impossible, l’être humain est faillible) les disciples sont assez autonomes, la place du Vénérable n’est pas celle du Lama, d’autant plus s’il s’agit d’un Rinpoché. Enfin bref.
Avec metta  |
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tirru...

Inscrit le: 02 Aoû 2006 Messages: 424
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Posté le: Mar 12 Avr, 2011 10:51 Sujet du message: |
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fifi a écrit: | j'ai une idée précise de ce que je recherche  |
Et que recherches-tu exactement Fifi, sans être indiscret ? |
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fifi

Inscrit le: 18 Mai 2010 Messages: 173
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Posté le: Mar 12 Avr, 2011 13:26 Sujet du message: |
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Il fallait bien que la question tombe à un moment ou un autre
Ben ! comment dire ...
un bon pratiquant de confiance ou un monial de l'école de la forêt de préférence ( en tout cas c'est le modèle que le cherche) afin que je pose les questions concrètes qui me tiennent à cœur mais en même temps il ne faut pas que ce soit très loin car je ne peux bousculer ma vie de famille pour m'accorder un temps trop important pour moi sans les enfants. En fait, il faut que j'arrive à démarrer une pratique et que je la tienne mais il me manque les premiers conseils de base et la confiance. Je voudrais que ce soit simple et que ce ne soit pas une prise de tête comme ça l'est depuis plusieurs années. C'est juste que je ne peux pas partir à Gennève ou je ne sais où toute seule car c'est source de conflit à la maison Paris n'est pas non plus forcément loin mais là c'est moi qui ne sait pas me débrouiller pour y aller. Alors je cherche comme faire mais surtout, je tourne en rond depuis un bon bout de temps dans mon petit samsara et évidemment, ça m'énerve un peu. Est-ce que l'on peut vraiment démarrer une pratique avec des livres ??? C'est peut-être plus ça la question peut-être... je ne sais pas. je ne sais plus
L'obstacle à contourner est le risque de déstabiliser la vie de famille, il me faut donc pratiquer au coeur de la vie et ça m'irait très bien, oh que oui !!! Mais je vois tant de gens qui se précipitent dans les centres de retraites et qui me donnent comme bons conseils de quitter mon conjoint que j'ai bcp de difficultés à en parler car mon choix n'est pas à ce niveau et il semblerait que peu de pratiquants vont dans ce sens parce que ça demande une tout autre organisation, de la patience et une grande motivation pour contourner les obstacles. C'est toujours délicat de parler de ça, encore plus sur un forum mais bon... Ici c'est calme alors c'est différent peut-être.  |
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Longchen

Inscrit le: 14 Jan 2011 Messages: 92
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Posté le: Mar 12 Avr, 2011 16:15 Sujet du message: |
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Bonjour,
Je te mets un lien ci-après vers des méditations guidées au format audio, elles ont été choisies de façon à ce que cela soit progressif, du tout débutant(e) à un peu plus expérimenté.
(http://www.dhammadelaforet.org/list/list_documents_audio.html)
De mon côté j’avais écouté le premier fichier audio et j’avais pris des notes sur la façon de procéder (j’ai utilisé mes notes, pas le fichier audio tel quel, mais c’est juste ma façon de faire).
J’ai pensé à cela par rapport à ce que tu exprimes : dans l’enseignement audio pour les tout débutants une grande partie du temps est consacré à essayer d’ouvrir un espace en soi, de façon à accueillir la pratique, d'y associer la notion de plaisir.
C’est sûr que si on conseille à une personne laïque et débutante de tout quitter pour prendre la robe cela doit créer des résistances...
Ajahn Sumedho à un moment de son ouvrage « L’esprit et la voie » (bon livre !) dit de se relier à son moine intérieur (peut être formule-t-il cela un peu différemment, j’écris ça de mémoire) ; bon, c’est vrai que dans le Théravada et même en restant laïc, je pense qu’on va nourrir ce lien avec le moine (ou la nonne) intérieur.
Qui va piano va sano !
Avec metta
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Adrien

Inscrit le: 31 Aoû 2008 Messages: 205 Localisation: Toulouse
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Posté le: Mar 12 Avr, 2011 19:54 Sujet du message: |
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fifi a écrit: | En fait, il faut que j'arrive à démarrer une pratique et que je la tienne mais il me manque les premiers conseils de base et la confiance. |
Je trouve que d'avoir conscience qu'il manque la confiance est déjà pas mal. Pendant un temps, je me suis posé beaucoup de questions sans comprendre que ces questions n'étaient que l'expression de l'agitation et du doute. Une fois que j'ai compris cela, je me suis mis à orienter mon attention sur mon esprit, sur sa façon de s'interroger constamment, et sur l'attachement qui était lié à ces interrogations. J'ai commencé à accepter la frustration, ce qui m'a permis de l'observer et de travailler avec elle au lieu de chercher à l'éliminer en trouvant des réponses à tout.
Grâce à cette pratique, je n'ai pas répondu à toutes mes questions mais j'en ai abandonné une très grande partie. Et pour les questions qui restent, je vis bien mieux avec elles : la réponse viendra en son heure, ou pas.
Sinon tu as aussi le village des Pruniers dans lequel on peut aller en famille (si tant est que ce soit possible pour toi). Les enseignements de Thich Nhat Hanh sont assez proches du theravada, et je crois que sa façon d'enseigner sati (qu'il appelle "pleine conscience") ne dissone pas avec les enseignements du Theravada.
Citation: | Je voudrais que ce soit simple et que ce ne soit pas une prise de tête comme ça l'est depuis plusieurs années. |
Je pense que tu devrais essayer de faire de cette prise de tête la base de ta pratique. Tu pourrais en faire ton objet de méditation principal pendant les activités quotidiennes, je pense que tu pourrais en tirer de grands bénéfices.
Citation: | Est-ce que l'on peut vraiment démarrer une pratique avec des livres ??? C'est peut-être plus ça la question peut-être... je ne sais pas. je ne sais plus  |
Franchement je crois que oui. Les livres donnent des instructions, et il suffit de mettre ces instructions en oeuvre. Lire plusieurs auteurs permet de limiter les erreurs d'interprétation.
Ce que le livre ne donne pas, c'est une vision sur les parties de toi dont tu n'as pas conscience. On peut mettre beaucoup de choses en pratique et passer complètement à côté d'un aspect de nous-même, ce qui peut limiter la pratique. Dans ce cas, c'est sûr qu'un guide spirituel peut être d'une grande aide, parce qu'il voit ce que nous n'avons pas vu en nous-même, et il nous oriente alors en conséquence.
Mais pour ce qui est des premiers pas et de la ligne générale, les livres sont suffisant (et même parfois mieux que certains enseignants). Encore faut-il savoir bien les choisir...
Citation: | L'obstacle à contourner est le risque de déstabiliser la vie de famille, il me faut donc pratiquer au coeur de la vie et ça m'irait très bien, oh que oui !!! Mais je vois tant de gens qui se précipitent dans les centres de retraites et qui me donnent comme bons conseils de quitter mon conjoint que j'ai bcp de difficultés à en parler car mon choix n'est pas à ce niveau et il semblerait que peu de pratiquants vont dans ce sens parce que ça demande une tout autre organisation, de la patience et une grande motivation pour contourner les obstacles. |
Voilà au moins un domaine ou tu as confiance en ton choix : malgré les conseils de certains, tu as fait ton choix ! Sachant cela, il faudrait qu'ils puissent proposer des conseils alternatifs, qui prennent en compte ta vision actuelle des choses.[/quote]
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Ajahn Sumedho a écrit: | Maintenant, réfléchissez. On peut observer la respiration. Qu’est-ce qui peut observer ? Qu’est-ce qui observe et connaît l’inspiration et l’expiration ? Ce n’est pas la respiration, n’est-ce pas ? Vous pouvez aussi observer l’état de panique dans lequel on est quand on ne peut pas inspirer ; mais l’observateur, celui qui sait, n’est pas une émotion, n’est pas atteint de panique, ce n’est pas une expiration ou une inspiration. Ainsi notre refuge dans Bouddha, c’est d’être cette connaissance ; d’être le témoin plutôt que l’émotion, ou la respiration, ou encore le corps. |
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fifi

Inscrit le: 18 Mai 2010 Messages: 173
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Posté le: Mar 12 Avr, 2011 22:28 Sujet du message: |
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Merci pour toutes ces paroles qui apportent confiance et sérénité, il y a beaucoup à retenir de cet échange de grande qualité
Vous avez su me toucher  |
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tirru...

Inscrit le: 02 Aoû 2006 Messages: 424
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Posté le: Mar 12 Avr, 2011 23:16 Sujet du message: |
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Bonsoir Fifi,
Sincèrement, je ne comprends pas vraiment ce qui t'empêche de pratiquer à part un manque de repères peut être et de motivation. J'ai l'impression que tu as érigé des murs entre toi et la pratique, tu as d'ailleurs utilisé les termes "l'obstacle à contourner" deux fois, une fois par crainte de déstabiliser ta famille et la deuxième de façon plus ambiguë pour se plonger dans la pratique. J'ai l'impression que tu souhaites un changement radical mais que tu le redoutes en même temps. Comme dit Longchen "Qui va piano va sano", il vaut mieux opérer des petits changements à son niveau et laisser le temps faire murir les choses et rien ne t'empêche de t'inscrire dans une discipline personnelle et de méditer régulièrement, à part ta volonté. Le Dhamma n'est pas derrière les obstacles à contourner, il est ici et maintenant. Le Dhamma nous invite à observer la vie et le conseil d'Adrien t'invite à juste titre à faire de tes états mentaux des objets de méditation, d'attention. C'est cela aussi la pratique, ce n'est pas que sur le coussin. Ce n'est certainement pas évident, mais ce n'est pas non plus insurmontable. L'effort consiste à remonter constamment sur la selle de Sati- l'attention, constamment. La continuité est le point le plus important.
Citation: | La compréhension vient chez ceux qui ne sont pas pressés de comprendre. Comprendre, c'est comme un arbre fruitier, il faut du temps qu'il devienne mure. On ne peut pas le forcer à porter des fruits. |
Petit rappel des qualités du Dhamma :
Citation: | Svâkhâto Bhagavatâ dhamma : Le dhamma a bien été exposé par le Bhagavat (le Béni du ciel),
Sanditthiko : Qu'il peut être réalisé clairement par le pratiquant,
Akäliko : dont les fruits sont immédiats,
Ehi passiko : qui "invite à venir et à voir" et non à croire aveuglément,
Opanayiko : Menant progressivement à Nibbâna, graduellement,
Paccatam veditabbo vunnühi: que le sage peut expérimenter directement par lui-même, |
Meilleurs souhaits dans la pratique et metta,  |
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fifi

Inscrit le: 18 Mai 2010 Messages: 173
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Posté le: Mer 13 Avr, 2011 14:18 Sujet du message: |
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Citation: | Sincèrement, je ne comprends pas vraiment ce qui t'empêche de pratiquer à part un manque de repères peut être et de motivation. J'ai l'impression que tu as érigé des murs entre toi et la pratique, tu as d'ailleurs utilisé les termes "l'obstacle à contourner" deux fois, une fois par crainte de déstabiliser ta famille et la deuxième de façon plus ambiguë pour se plonger dans la pratique. |
En effet, c'est assez confus, les conseils d'Adrien allaient dans ce sens. Il a fallu que je mette des mûr pour me protéger depuis que je suis enfant, je n'ai pas eu trop le choix et maintenant les descendre demande de me mettre en danger ( je le vis encore comme ça), il est possible que je ruse pour contourner le mûr sans le faire tomber pour pouvoir me réfugier derrière au cas où (on ne sait jamais) d'où pas mal de soucis.
Je fais partie de cette génération qui a eu des parents New Age. J'ai toujours pensé qu'un jour je trouverai ma voie mais certainement pas là dedans. J'ai vu beaucoup de choses désagréables, aussi des mères de famille péter les plombs et se prendre pour des êtres de lumière, ma propre mère ne me considère pas comme sa fille mais comme son maître spirituel et j'en passe. J'ai pleuré bien souvent, j'ai déprimé très jeune, j'ai pensé à me détruire pour que ça s'arrête consciente que la solution n'était pas celle-ci, je me suis faite du mal au point qu'il soit difficile d'entrer en amitié avec cette petite "nonne intérieure". J'ai terriblement peur de reproduire ce que j'ai vécu. Le bouddhisme tibétain dont j'ignorais tout le côté ésotérique m'a ramené a ce vécu, je croyais m'assoire et méditer, seulement ça. Mais très vite, je me suis retrouvée au cœur de pratiques ésotériques sans initiation et sans comprendre pourquoi, au cœur de polémiques sur les rapports pratiquants/lamas. Tout ce que j'ai vécu dans ma famille, j'avais décidé de venir l'oublier ici-même avec eux et voilà que tout était sous mon nez. On me disait " la Sangha c'est une famille" Ben tu m'étonnes !!! C'est tout pareil, c'est vrai ! Ca aussi c'est le karma
J'ai rien lâché, je me suis dit qu'il devait y avoir d'autre façon de pratiquer le Dhamma parce que ma petite voix intérieure me faisait dire que le chemin était le bon. J'ai découvert l'UBE en achetant la revue d'actualité bouddhiste pour la première fois. Je me suis tâtée et puis inscrite après plusieurs moi de réflexion. J'ai pu découvrir les différentes écoles dans le programme des cours, j'ai cherché sur le net des infos sur le Théravada complètement dégoûtée du bouddhisme tibétain, voilà comment je suis arrivée sur Metta. Et là, le calme, la simplicité que j'avais toujours recherchée ma vraiment séduite et rassurée. C'était déjà un bon point. Ma grande peur était de faire vivre ça à mes enfants et leur père. J'ai tellement eu peur au début que j'ai exactement fait ce qu'il ne fallait pas faire. Je devais certainement en passer par là, wahoooooo j'ai bien dégusté, c'est moi qui vous le dis. L'attention au quotidien est ce que je pratique le plus et me pose le moins de problème. M'asseoir, c'est encore faire ressurgir toutes les images du passé qui sont liées à cette posture, aux rituels, au chanelling etc. J'ai donc essayé sans le rituel parce que ça m'irrite de trop mais ça ne va pas non plus, et zut ! Tirru, t'imagines bien que mon zhomme, il n'a pas envie de me voir finir comme sa belle-mère, c'est normal Autant dire que j'ai la pression de ce côté là aussi
Et bien.... Si on relis le titre du post, il y a de quoi se poser des questions, rien à voir avec le problème  |
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