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Les trois corps de Boudddha...

 
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cgigi2
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MessagePosté le: Mar 17 Avr, 2007 7:10    Sujet du message: Les trois corps de Boudddha... Répondre en citant

Les trois corps (ou kayas) de Bouddha
Le Canon pali désigne trois corps de Gautama Bouddha :
* son corps formel fait des quatre éléments (pali caturmahabhatikaya), soit le corps historique de Gautama.
* le corps mental (pali manomayakaya) par lequel Gautama se rendait dans les royaumes divins
* le corps de la doctrine (pali dhammakaya), l'ensemble des enseignements, qui demeurent un certain temps après la mort de Gautama.

Le concept prend de l'importance dans l'école Sarvastivadin. Mais il acquiert par la suite une signification fort différente.
En effet, dans le Mahayana, les Trois corps, manifestations d'un Bouddha, ne sont pas des entités séparées mais des expressions de l'ainsité (tath?ta) qui sont unes. Ils y sont respectivement,
*le Nirmanakaya, corps de manifestation, d'émanation,
*le Sambhogakaya, corps de félicité, ou de jouissance,
*le Dharmakaya, corps du Réel, ou ultime.

http://www.blinkbits.com/fr_wikifeeds/Boudhisme

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gigi


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sati



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MessagePosté le: Mar 17 Avr, 2007 16:22    Sujet du message: Philosophie... Répondre en citant

Quand je frappe sur le clavier, c’est avec mon caturmahabhatikaya. Quand je rêve, c’est avec mon manomayakaya. Le petit souvenir de moi que tu garderas dans ton cœur, c’est mon dhammakaya.
Si quelqu’un de sincère a une autre expérience PERSONNELLE de « ses trois corps », qu’il veuille bien nous instruire.

Quelle est cette école Sarvastivadin ?

Amitiés bienveillantes.
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cgigi2
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MessagePosté le: Mar 17 Avr, 2007 18:55    Sujet du message: Répondre en citant

Abhidhamma Sarvastivadin
L'abhidhamma Pitaka de l'école Sarvastivada se compose également de sept traités.

Sangītiparyāya
Dharmaskandha
Prajñaptiśāstra
Dhātukāya
Vijñānakāya
Prakaranapāda
Jñānaprasthāna

http://fr.wikipedia.org/wiki/Abhidhamma#Voir_aussi

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sebastien billard



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MessagePosté le: Mar 17 Avr, 2007 20:14    Sujet du message: Répondre en citant

Si je ne me trompe pas, la théorie de trois corps (trikaya) est typiquement Mahayana non ?
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Sébastien
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cgigi2
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MessagePosté le: Mar 17 Avr, 2007 21:07    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Sébastien, justement connais-tu cet Abhidhamma Sarvastivadin ?

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sebastien billard



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MessagePosté le: Mar 17 Avr, 2007 21:40    Sujet du message: Répondre en citant

il s'agit d'une branche qui s'est séparée de ce qui allait devenir plus tard le Theravada. Les théories sarvastivadin (à tendance idéaliste il me semble, à confirmer) sont donc plutôt heterodoxes pour les theravadin, de même que pour les mahayanistes. D'ailleurs quand un mahayaniste parle de hinayana, c'est en fait souvent des sarvastivadin qu'il parle.
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Sébastien
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cgigi2
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MessagePosté le: Mar 17 Avr, 2007 21:55    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai trouver ce texte qui a des côtés intéressants, mais j'arrive plus à retrouver la source c'est bête Confused

Ornement de bijou de la libération - diverse Toscane 1985
Page précédente … du fait qu'engagement à un, si au Bouddha, le Dharma et le Sangha ou à une autre personne, également dépasse la naissance et la mort. Ou le regardiez-vous d'un point de vue quelque peu différent ?

Bram : Je pense votre… S. : Peut-être je peux mentionner à cet égard que, dans la mesure où je me rappelle, selon l'Abhidharma je pense l'Abhidharma à aller à un de Sarvastivadins pour le refuge, engagement à un aux trois bijoux, persistés au delà de la mort, mais que la prise à un des préceptes pas ; les préceptes ont dû être remplacés, mais pas nécessairement aller pour le refuge. Je ne peux pas me rappeler les raisons qui ont été donnés pour celui, si des raisons étaient données du tout. J'imagine qu'il était quelque chose faire avec l'équipement psychophysique à un, en vertu duquel on pouvait observer, et donc prendre clairement, les préceptes ou pas ; mais les refuges un ont pu prendre sans se soucier.

Murray : Vous dites que c'est un rapport de la fidélité, dépassant la naissance et la mort. Je ne comprends pas cela. Fait ce moyen qui, entre le professeur et le disciple, au delà de la mort les deux corps subtiles car c'étaient… la pratique spirituelle… S. : On a demandé le non, la question à l'origine seulement du point de vue, pendant qu'il étaient, d'une des deux parties concernées : c'est-à-dire, celui qui était capable de faire un engagement de cette sorte. Mais si on croit à la renaissance du tout et vraisemblablement une doit croire à la renaissance afin de pouvoir croire qu'un tel engagement dépasse la naissance et la mort si on croit à la renaissance tout puis à aussi une identifie nécessairement qu'il y a quelques actes, nous laissent dire, quelques engagements dans ce cas-ci, qui imprègnent tellement profondément le continuum psychophysique à un, nous laissent dire, qu'ils persistent au delà de la mort physique comme partie et colis, ainsi parler, de ce continuum.

Vessantara : Murray a mentionné les corps subtiles. Buddhadasa a eu une question sur ceci… Buddhadasa : Pourriez-vous svp expliquer des différences qui peuvent exister entre le manomayakaya, qui Guenther traduit en tant que « corps essentiellement mental », le corps subtile ou le corps angélique, et que certains appellent-elles le corps astral ? S. : J'ai peur qu'il y ait une confusion très grande de terminologie ici. Vous avez une terminologie strictement bouddhiste, qui n'est pas toujours conformée ; vous avez également une sorte de terminologie popularisée de semi-finale-theosophical, qui est conformée dans elle-même mais qui n'est pas nécessairement conformé à la terminologie bouddhiste ou même à d'autres terminologies qui entrent dans cette sorte de discussion. Le manomayakaya est littéralement « le corps fait en esprit ». Ceci peut être traduit en tant que « corps subtile », qui correspondra alors au suksmasarira d'hindou ou de Vedantic, qui signifie littéralement ce corps subtile ; c'est un terme que le Theosophists emploient également. Le corps subtile est, ainsi pour parler, cela dans lequel on exécute de divers prétendus exploits supernormal, et c'est le corps subtile qui après la mort et, naturellement, lui est un corps subtile jamais-changeant progresse par le bardo, et qui dans un sens est rené. On peut distinguer ce manomayakaya comme corps subtile et corps astral puisque le corps astral est les contre-parties subtiles du corps physique, et correspond à lui, mais n'est pas aussi subtile comme manomayakaya. La différence entre le corps astral et le manomayakaya, le corps subtile, accepte cette terminologie que le corps astral, bien qu'il survive la mort, [19] ne survit pas il pour très longtemps ; elle se désagrège plus ou moins de la même façon comme le fait le corps physique, mais se désagrège plus lentement ; considérant que le corps subtile, étant un corps purement mental, ne se désagrège pas de la même manière. C'est le principal, celui est le vrai, différence, indépendamment de la nomenclature. En d'autres termes, toutes ces traditions semblent poser en principe un corps physique brut, un corps physique subtile, et un corps mental, dans l'association ; tous qui changent toute heure, mais les deux premiers sujet à la désintégration, le bout pas sujet à la désintégration jusqu'à, apparemment, l'éclaircissement lui-même sont atteints.

Vessantara : Y a-t-il une limite bouddhiste pour ce que le Theosophists appellerait le corps astral ? S. : Parfois le manomayakaya est compris dans ce sens, et parfois ce que j'ai appelé le manomayakaya s'appelle le vijnana de vijnana encore dans un certain sens ; parfois le patisantivijnana (?), relinking de la conscience. Comme I dit au début, il y a une grande confusion terminologique ici. Je voudrais, si je peux lui contourner, la trier une certaine heure.

Vessantara : L'idée que le corps astral est le corps qui se sépare peu de temps après la mort est qu'une idée de Theosophical, ou est elle également trouvée dans le bouddhisme ? S. : Ceci est également trouvé dans le bouddhisme. Ceci s'appelle parfois « le corps du désir ».

Vessantara : Quelle tradition parlerait de ceci ? S. : Les Tibétains discutent ces choses énormément. Je n'ai pas lu beaucoup de littérature bouddhiste tibétaine de cette sorte, est-ce que mais je crois qu'il y a un livre sur le sujet que je ne peux pas me rappeler que le titre édité assez récemment par est lui a appelé après des états de la mort, ou n'importe quoi de pareil ? : Lati Rimpoche. S. : Lati Rimpoche, oui ; il discute ces choses dans une certaine mesure. Mais je me rappelle d'avoir de diverses conversations avec Dhardo Rimpoche sur elles, et lui ai semblé très au courant de ces derniers sorte d'enseignements. Mais je ne pense pas que nous avons beaucoup de textes traduits du Tibétain traitant ces choses, jusqu'ici. Je suspecte également bien que ce soit seulement un soupçon que beaucoup d'enseignement standard de Tibétain sur le sujet dérive, en fait, de l'Abhidharmakosa, qui est, naturellement, disponible dans le Tibétain.

Vessantara : Quel effet la pratique en matière de visualisation aurait-elle sur le corps astral et le corps subtile ? S. : Je suppose que la question est fondamentalement : quel effet la méditation en tant que telle a-t-elle sur le corps subtile ? Évidemment, elle la rendra plus subtile ; elle deviendra imprégnée d'employer le terme que j'ai employé avant avec des qualités concernant ou me suis relié à celui qui soit le sujet de la visualisation, et donc, aucun doute, ne pourra les enregistrer ou soutenir l'expérience de elles plus facilement dans le bardo.

Dharmadhara : Dans les contre-parties positives des trois premiers préceptes, quand nous parlons d'épurer le corps, sommes nous limitant juste cela au corps physique, r S. : Oui, puisque ce sont des préceptes moraux nous sommes parler du corps physique. Mais, évidemment, les autres corps doivent être épurés aussi.

Pavel : … pour épurer le corps à un en étant généreux et ainsi de suite ? [20] S. : C'est avec le corps physique qu'on effectue ces actions. Ce n'est pas que le corps physique lui-même, littéralement, est pur ou impur dans le sens moral, parce que le corps est seulement un instrument ; tellement un pourrait donc indiquer que, métaphorique parlant, on épure le corps à un de cette façon. Mais, essentiellement, c'est le déclarer mental qui est pur ou non pur.

Pavel : Ainsi qu'est mentionné, est-ce que puis, par « moi épurer mon corps », « j'épure mon esprit » ? S. : Bien, quand vous dites vous épurez l'esprit, l'esprit est épuré directement. Quand vous dites vous épurez le corps, l'esprit est épuré indirectement. Mais, naturellement, dans un sens on pourrait indiquer, si on voulait entrer dans lui plus profondément, que le corps, même dans le sens littéral, est épuré ; parce que ce n'est pas que le corps est tout à fait divorcé de la sensibilité et donc de la conscience. Il est comme si la conscience à un imprègne et informe le corps trop au moins en quelque sorte de parler. Votre corps est toi, il n'est pas simplement un instrument de la manière qui un couteau ou un marteau est.

Vessantara : Nous venons maintenant dessus à quelques questions au sujet de la doctrine de Tathagatagarbha, commençant par Wayne.

Wayne : Que pensez-vous étiez-vous les conditions qui ont provoqué la doctrine de garbha de Tathagata ? S. : Je ne pense pas que nous savons. Le fait est nous savent très, très peu du contexte historique et culturel du développement du bouddhisme. J'ai évoqué ceci pas aussi très il y a bien longtemps dans un groupe d'étude. Je pense quelqu'un demandé où l'information était disponible au sujet de l'historique culturel et du développement du bouddhisme, mais, comme I dit, il y a de l'information très petite de cette sorte disponible du tout. Histoire indienne, elle est bien connue, consiste en grande partie en lacunes et cela s'applique à l'histoire du bouddhisme en Inde, aussi. Il est remarquable que, quand on prend le bouddhisme tibétain, ou quand on va par exemple au bouddhisme chinois, immédiatement l'obscurité, parlant historiquement, mène pour s'allumer. Beaucoup, plusieurs des dates de l'histoire bouddhiste indienne sont établis seulement des sources chinoises et tibétaines, qui est vraiment tout à fait extraordinaire. Elle est comme si les Indiens, y compris les bouddhistes indiens, ont eu à peine n'importe quel sens historique du tout. J'ai fait la remarque récemment que j'oublie dans quel raccordement mais la rue parlante Jerome, cette rue Jerome semble avoir été un contemporain presque exact de Nagarjuna, mais égal pour lier les deux noms du fait la manière est absurde, dans un sens, parce que la rue Jerome est un caractère entièrement historique. Nous connaissons un sort terrible au sujet de lui. Nous avons beaucoup, beaucoup de lettres de lui et à lui. Nous pouvons suivre le cours de sa carrière, non seulement d'année en année, non seulement de semaine en semaine, mais de jour de jour, parce que ses lettres étaient datées ! Ainsi nous savons exactement où il était, habituellement, un certain jour et exactement ce qu'il faisait ; nous pouvons suivre le cours entier de son histoire. Mais Nagarjuna, qui a vécu presque exactement au même temps, dans la comparaison est tout à fait un vague et ombragé, même légendaire, figure. Les disciples ne sont pas exactement certains de ses dates bien, nullement un certain nombre de ses dates : quand il est né, quand il est mort. Il y a toutes les sortes de légendes au sujet de lui vivant pendant 600 années. Les disciples occidentaux modernes pensent qu'il y a eu une confusion entre deux Nagarjunas différent, probablement trois. Nous ne sommes pas même sûrs s'il a vécu en Inde du sud ou quelque part autrement et a enseigné. Nous ne savons pas s'il a été relié ou était aux conditions amicales avec ce roi ou avec cela. Nous ne sommes pas même sûrs ce qu'exactement il a écrit. Nous certainement ne savons rien laquelle de sa vie de jour en jour ; considérant que nous savons tous au sujet du ménage de rue Jerome, et toutes petites difficultés…

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MessagePosté le: Mar 17 Avr, 2007 22:00    Sujet du message: Répondre en citant

Sébastien dit:

Citation:
D'ailleurs quand un mahayaniste parle de hinayana, c'est en fait souvent des sarvastivadin qu'il parle.


Mais es-ce-qu'il sagit d'une branche encore plus ancienne dans le Théravada ?

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sebastien billard



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MessagePosté le: Mar 17 Avr, 2007 22:15    Sujet du message: Répondre en citant

Gigi, le texte que tu cite émane de la théosophie, une forme de "new-age" née au 19e siècle qui n'a rien de bouddhiste...

Pour ce qui est des sarvastivadin, oui c'est une des anciennes 18 écoles. Ils ont disparu il y a longtemps mais il me semble que leur abhidhamma survit en partie dans certaines écoles bouddhistes chinoises. Quelques infos ici sur ces écoles (avec les précautions d'usage) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dix-huit_%C3%A9coles_anciennes
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MessagePosté le: Mar 17 Avr, 2007 22:27    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Sébastien, pour le lien, en ce qui concerne ce texte, je me demandais qui est Vessantara, peut-être un Indien

mais comment considérer les sarvastivadin, ils semblent avoir été excluent à un concil, parce qu'il voulaient peut-être instruirent différamment les gens de l'époque, alors comme les époques changes et les gens aussi, ce serait peut-être plus aceptable aujourdh'ui, Smile

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